Catégories : Hommes fessés
il y a 5 ans
En compagnie de Christophe, un vieux copain, nous étions en train de faire du sport au lycée sous la direction de notre prof de gym était Mlle C. C’était, une grande jeune femme, une blonde assez jolie et d’allure athlétique. C’était aussi une prof autoritaire et à poigne qui savait se faire respecter aussi bien des garçons que des filles.
A ses leçons de gym et de sport, elle exigeait que nous soyons tous en short et pas en survêtement. Après un match de handball les garçons laissèrent leurs places aux filles. Mon copain et moi nous assîmes dans un coin de la tribune isolé du groupe pour regarder les filles jouer.
Puis, comme nous en avions pris l’habitude par jeu, je glissai ma main sous son short pour quelques privautés. Un petit service à se rendre de temps à autre… Ce n’était que pur jeu entre a d o l e s c e n t s alors qu’en fait nous étions tous deux très attirés par l’autre sexe ,mais encore bien trop timides pour oser nous déclarer.
Trop affairés, nous ne prîmes pas garde à la prof de gym qui nous observait. Un moment plus tard, elle sifflait la fin du match et toutes les filles se rendirent à leur vestiaire. Puis nous sursautâmes. La prof venait de surgir d’un coup devant nous. Lancé d’une voix sèche, son ordre nous affola.
« Vous deux, les garçons, suivez-moi dans mon bureau … Vous savez pourquoi
Elle nous avait donc vus ! Rouges de honte nous la suivîmes jusqu’à son bureau où elle s’assit en nous toisant avec une expression de dégoût.
« C’est du propre ! Et faire ça en public ! Vous n’avez pas honte, jeunes gens ? Vous n’êtes que deux petits vicieux. Connaissant bien vos parents, j’imagine leurs réactions en découvrant vos turpitudes sur vos carnets de correspondance… Hein ? Que vont-ils dire vos parents ? Et surtout que vont-ils faire? Hein ? questionna-t-elle avec une telle insistance qu’il nous fallait bien répondre. Mon camarade et moi nous consultâmes du regard. Bien que muettes nos mines en disaient long. Son visage était rouge comme une pivoine. Le mien devait être pareil tant je sentais les bouffées de chaleur me brûler les joues et le front.
« Mademoiselle, nous serons tous les deux fouettés, sûrement… » dis-je d’un trait.
« Oh ! je vous en supplie, ne leur dites rien, Mademoiselle ! Moi, j’ai eu une correction il y a deux jours seulement et ça me fait encore mal ! » implora Christophe.
La prof hocha la tête deux ou trois fois. Elle parut réfléchir. Puis on vit avec un soulagement un léger sourire sur son visage.
« Que vous soyez sévèrement punis chez vous, je n’en doute pas, jeunes gens. Mais je suis conciliante… Oui, je puis arranger cela. Je puis les faire rougir moi-même, vos fesses, et avec une bonne fessée comme à la maison. Alors, choisissez vite ! C’est une fessée ici même ou une inscription détaillée sur votre carnet de correspondance ! »
Dans nos têtes, la décision fut immédiate. Chez lui comme chez moi, c’était couru d’avance. Le martinet de maman pour moi, la ceinture de son papa pour lui. Et tous deux, sans nous concerter, nous répondîmes d’une même voix :
« Mademoiselle, nous préférons… la fessée… ici… mais promettez-nous de ne rien dire à nos parents… et ni aux filles ! »
« Vous pouvez rougir maintenant. Mais je vous promets une chose, dans un instant ce qui sera être nettement plus rouge que vos joues, ce seront vos joues fessières ! Parce que je vais les faire rougir vos fesses et avec une bonne fessée !
Les filles parties, Mlle C. nous ordonna d’aller prendre notre douche.
« Quand vous aurez fini de vous doucher, revenez ici en tenue de gym, short et maillot. Mais pieds nus ! Allez ! Et en petites foulées ! »
Au retour, Mlle C. nous guida jusqu’au cheval d’arçon. A sa main pendait une fine ceinture de cuir. Tout cela nous parut bizarre. Pourquoi nous amener ici ? Elle aurait pu nous fesser dans son bureau ? Mais nous n’allions pas tarder à découvrir à quel usage inattendu elle destinait cet appareil de gymnastique. Elle nous fit mettre côte à côté, mains plaquées sur les côtés, une sorte un garde-à-vous, pour entendre son sermon.
« Jeunes gens, il est normal qu’à un âge comme le vôtre on se livre à ce genre d’exercices. Mais, vous devriez au moins savoir si vous êtes incapable de le ressentir, on ne fait pas ça en public ! Et encore moins pendant une leçon de gym en présence d’un professeur femme et surtout de jeunes filles ! Seriez-vous des animaux, par hasard ?
« Euh, non mademoiselle… » dis-je bêtement.
« Silence ! C’est pourquoi je dois vous punir. Et sévèrement ! »
Elle fit une pause puis levant le bras qui tenait la ceinture de cuir dont une extrémité était enroulée autour de son poignet et l’agita sous notre nez, nous regardant l’un après l’autre. La lanière de cuir se déployait à la verticale, ondulant avec souplesse comme un serpent s’apprêtant à foncer sur sa proie. Je frissonnai. Et si ?…
« Messieurs, tout à l’heure vous avez dit qu’à la maison vous seriez fouettés. C’est exact ? »
« Oui, Mademoiselle. Chez moi maman se sert d’un gros martinet » dis-je
« Mais chez moi, mon père me fouette maintenant avec une ceinture de cuir qui a remplacé le martinet. » précisa Christophe.
« En vous administrant cette correction, je ne fais que me substituer à vos parents. Je dois donc agir avec vous comme ils le feraient eux-mêmes. Par conséquent, ce n’est pas une fessée que vous allez recevoir, mais le fouet ! Et avec ceci !… dit-elle en fouettant l’air avec la ceinture d’une façon terrifiante. C’est ma propre ceinture et elle conviendra parfaitement à vos petites fesses ! Maintenant déshabillez-vous complètement. Je veux vous voir tous les deux nus comme au jour de votre naissance. »
Subjugués, nous commençâmes à nous dévêtir avec des gestes maladroits et gênés. Ce n’était pas compliqué, juste un maillot, un short et un slip. Ce n’était pas non plus la présence de Mlle C. en train de nous regarder nous déshabiller. Du reste, ce n’était pas la première fois qu’elle nous voyait tout nus, nous et les autres garçons, aussi bien au vestiaire que sous la douche. Non, ce qui nous mettait mal à l’aise, c’était plutôt le lieu ouvert et impersonnel de cette grande salle de gym et aussi de savoir que c’était là précisément que nous allions recevoir le fouet.
Nous nous retrouvâmes debout et entièrement nus face à elle, croisant pudiquement nos mains sur nos bas ventres dans une vaine tentative de garder une certaine contenance . je vis son regard s’abaisser jusqu’à mon bas ventre. Je n’y avait pas pris garde
« C’est bien, maintenant retournez-vous tous les deux et appuyez vos torses côte à côte sur ce cheval d’arçon. Il y a assez d’espace pour que je vous puisse vous punir ensemble.
J’obéis, posant mon torse nu sur le cuir glacé du cheval d’arçon.
« Parfait ! Maintenant reculez vos pieds aussi loin que possible. Ce sont seulement vos petites fesses et vos cuisses que je veux fouetter, pas le reste… Un peu plus loin Jean-Marie. Comme votre camarade Christophe…. C’est bien … Vous êtes vraiment mignons tous les deux avec vos derrières tout nus.
Sa voix s’était radoucie et finalement elle aurait pu me sembler très gentille si je n’avais été là dans cette position, mes fesses tendues, à attendre ses premiers coups de ceinture.
« Vous allez bientôt sentir combien ça fait mal la ceinture sur les fesses, Jean-Marie. »
Je fus le premier à lui donner raison. Il y eut un claquement sec. Je sentis d’abord un choc. Puis ce fut comme un trait de feu qui traversait mes fesses de part en part déclenchant une onde de douleur aiguë qui s’élança dans tout mon postérieur. La douleur provoquée par ce coup de ceinture était réellement différente d’une cinglée au martinet. Suffoquant de surprise, je me relevai à demi en cambrant brusquement mes reins.
« Ne jouez jamais plus de cette façon avec vos machins… sinon vous pourrez compter sur moi pour ne plus vous asseoir ! »
Cela s’adressait à mon camarade Christophe qui ne put réprimer un cri quand la lanière claqua brutalement sur ses fesses. Je commençais à trembler quand la ceinture fendit de nouveau mon postérieur me faisant de nouveau lâcher prise. Je me mis à pleurnicher intérieurement en regrettant le martinet de ma mère.
« Et puisque avez-vous eu le culot de vous exhiber… »
Mon camarade s’ébroua à côté de moi en poussant un cri. Lui qui avait l’habitude de recevoir le fouet chez lui m’étonnait. Était-il donc plus douillet que moi ? J’en étais à cette réflexion très profonde lorsque… une douleur inédite me fit danser d’un pied sur l’autre. Cette fois-ci Mlle C. venait de fouetter le haut de mes cuisses.
« … vous exhiberez vos cuisses à la prochaine leçon … »
La ceinture claqua de nouveau, meurtrissant à leur tour les cuisses de Christophe qui se secoua de nouveau en poussant de nouveau un grand cri.
« … pour expliquer à vos camarades votre dégoûtante manie ! »
Nous reçûmes encore trois autres cinglées plus fortes qui strièrent nos fesses et nos cuisses nous arrachant de grands cris. Je n’avais plus qu’une envie urgente, c’était de frictionner à pleines mains mes fesses et mes cuisses dévorées par un feu d’enfer.
« C’est fini ! J’espère que la leçon est comprise. Filez vous rhabiller puis revenez me voir dans mon bureau. »
Elle ne nous le répéta pas deux fois. Dans le vestiaire nous examinâmes les dégâts. Cela nous causa un s nouveau souci. Il était évident que les longues stries rouges qui découpaient la peau des cuisses et des fesses resteraient marquées durant quelques jours. En faisant attention, nous échapperions probablement à la curiosité de nos parents, mais certainement pas à celles de nos camarades. Mlle C. savait ce qu’elle faisait…
Malgré mes dénégations, Christophe me jura que j’avais hurlé sous les derniers coups. Je l’assurai que c’était plutôt lui qui avait crié come un goret! Mais il refusa de me croire !
Elle nous attendait dans son bureau, le visage radieux. Se réjouissait-elle des nos expressions de grands ados contrits ?
« Je suis désolée pour ces corrections, jeune gens, mais c’était mon devoir. Que je ne vous y reprenne plus tous deux car, la prochaine fois, je serai bien plus sévère et vos parents seront également prévenus. »
A la leçon suivante, nos shorts trop courts suscitèrent bien des questions. On s’en tira par une pirouette, prétextant qu’à cause d’une bêtise commise ensemble nous nos parents avaient sévi.
Jean-Marie
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